Cela fait plusieurs jours que je tentais de joindre la cadre de santé du service d'hospitalisation de néphrologie pour évoquer avec elle le stress de l'hospitalisation du 6 mars pour le protocole de désensibilisation en vue de ma future troisième greffe.
J'avoue que j'étais un peu inquiète qu'elle ne comprenne pas ma démarche.
Il n'y a pas de chambre seule dans ce service.
Je vais avoir de fortes doses de cortisone.
Je sais que je vais être très stressée et angoissée pendant la cure.
Je lui en parle.
Elle me confirme qu'il n'y a pas de chambre seule mais qu'elle fera son maximum pour que je sois au maximum seule dans la chambre en fonction des entrées et sorties.
Elle m'a expliqué le nouvel agencement du service qui a changé il y a quelques années (je n'y suis pas retourné depuis 2011) et m'a rassuré quant à la prise en charge de ce traitement qui est habituel pour eux.
Elle m'a décrit le nouveau service.
Elle m'a décrit le nouveau service.
Elle a bien ajouté que je n'hésite pas à la solliciter en cas de besoin, qu'elle serait là pour m'écouter.
Je me sens un peu plus rassurée sur cette hospitalisation.
Je suis contente.
Ca n'a l'air de rien ou pas grand-chose. Mais j'ai eu l'impression d'être écoutée et prise en considération.
J'angoisse moins.
Ca n'a l'air de rien ou pas grand-chose. Mais j'ai eu l'impression d'être écoutée et prise en considération.
J'angoisse moins.
La suite, bientôt.
Que cette assurance grandisse encore et que le stress soit moins présent. J'espère que cette personne tiendra ses paroles, qu'elle sera à votre écoute et vous rassurera en cas de doute. Bon courage à vous. A bientôt
RépondreSupprimer